Connaître le doux parfum pervers

De tes épaules

Et aller plus loin dans l'exploration

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Les trous de tes yeux si noirs,
Comme chargés d'arrogance,
Pièges laissés au détour d'une route,

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Sur le sera des bêtes,

Étaux de genévriers morts,

Étendues clairsemées de tristes agonies,

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Du tronc unique,

Trois sursauts divergents.

Plus haut, dans le fin treillis,

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Il arrive parfois,

Que même, les coins d'ombre,

Recèlent de ces secrets,

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Dans ce vase clos où foisonne invisible

Une tendre moisissure

Aux ramures d'argent

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Un vase neuf rutilant, brillant de mille feux.

Un vase neuf un peu terne.

Un vase neuf recouvert de poussière.

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Encore une fois tremblante,

Mais l'idée préconçue,

De cette sorte d'offrande,

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Ce fut l'extraordinaire dans un gris quotidien.

Des lambeaux d'infortune traînant dans les coins sombres,

Un soleil pâlissant,

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Amassées une à une

Et parfois à plusieurs

Ces misères trottant

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La feuille qui bouge

Et qui ne veut plus partir

De l'arbre creux déraciné

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Il y a si longtemps......

Sur la route, un à un arrachés

Les sanglots deviennent vides.

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J'entamais un à un

Mes soupirs inventés.

La route sinueuse

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Lieu propice.

Les fils avaient été enlevés.

Ce n'est pas tellement net.

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