« J'ai fini par me dire qu'on éviterait le pire.
Qu'il fallait mieux couper plutôt que déchirer.

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« On se noit continuellement dans le malheur, jusqu'à remplir nos poumons de nos propres larmes, jusqu'à nous prouvés à quel point on peut encore avoir mal. & pourtant on continue.

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J'me souviens encore de ces murs jaunes et de cette odeur de cigare dans la pièce. J'me souviens aussi du mini balcon sur le quel on avait jamais le droit d'aller, ou du canapé où on pouvait jamais grimper.

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Quand on commence la mutilation, il est difficile de s'en sortir. Ca passe de deux-trois coupures au compas, à des entailles au rasoir, si profondes qu'on en a la tête qui tourne.

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Ils résonnaient, encore et encore, au fond de moi. Je n'y croyais pas, pourtant ils continuaient de tourner dans mon esprit, me torturant sans cesse.

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C'est vrai, en général j'ai toujours les mots ou bien l'histoire pour exprimer mes sentiments. Mais quand il s'agit de parler de toi, les mots ne sont plus là. Pourtant je pourrais écrire des livres et des livres, sur tes manières,

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Je m'en souviens. Même après tout se temps. Il me serrait impossible d'oublier mes cries. D'oublier la plus belle partie de ma vie. Celle où tu étais présent. J'y pense encore, souvent.

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Ce cœur bien trop vide, mais beaucoup trop plein se tord en même temps que mon ventre qui te régurgite les mots que tu as osé me cracher à la gueule.

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Se sentir vivre est quelque chose d'unique, invraisemblable et pourtant réel. Rien ne peu d'écrire alors, l'instant qu'on a pu vivre. Je ne pourrais jamais exprimer se que j'ai ressentie à se moment la.

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J'aperçois cette ombre qui m’a tant fait frissonner, cette odeur que j'aurais tant voulue sentir. Se regard toujours encré en moi, comme cet amour qui aura finit par pourrir au creux de mon cœur.

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Je me souviens qu’il faisait gris se jour là, j’étais perdu dans mes pensées, la musique raisonnait doucement dans mes oreilles, je longeais les couloirs de l’établissement quand j’ai croisé ton regard.

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Dis-moi que tu te souviens.
De mes rêves accrochés à tes phalanges, de mes espoirs collés à tes pas ? Je ne sais pas vraiment se qui nous unissais, ni le sentiment qui faisait qu’on ne pouvait se lâché. J

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- Tu ne te souviens pas du jour, où tu nous as murmurés que jamais tu ne nous oublierais ?
- Je ne vois pas le rapport.

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C'était une journée en plus. Pas très agréable, comme toujours. Cette sensation de ne pas avoir conscience de ses sentiments. Quand tout est trop fort et trop multiplier. Désorienté, derrière ce passé trop peu comblé.

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