« On se noit continuellement dans le malheur, jusqu'à remplir nos poumons de nos propres larmes, jusqu'à nous prouvés à quel point on peut encore avoir mal. & pourtant on continue. On continue d'aimer encore et encore. On continue de s'ouvrir le coeur et l'âme, à se torturer sans fin... Oui, je continue. »
« & Quand je pense à toi, j'ai envie de vomir. Pas de dégout, pas de haine, non. Juste d'Amour. & tu sais pourquoi ? Parce que mon corps ne supporte pas le trop plein de sentiments amoureux que j'ai à ton égard. C'est tellement trop, c'est tellement plein. Ca prend tellement de place. Ca me remplie entièrement. C'est si fort que mon corps essaye de le rejeter, je t'aime tellement qu'il ne le supporte pas... »
« & Parfois on est tellement déprimé qu'on arrive même plus à pleurer. Alors on s'assoit sur une chaise, les yeux grands ouverts, et on pense pendant des heures. On se fait du mal, comme si c'était encore faisable. Il ne reste de nous qu'une carapace vide. Vidé de tous. Et on se laisse vulgairement tomber, en attendant de s'écraser. On se laisse mourir parce qu'on a même plus la force de réagir, parce qu'on a même plus l'envie de se protéger. Oui, j'me laisse crever. »
"Toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle faite sans le consentement de l'auteur est interdite"
Style : Pensée | Par sara-weint | Voir tous ses textes | Visite : 314
Coup de cœur : 9 / Technique : 8
Commentaires :
Nombre de visites : 34757