Les quatre cent coups portés à l’écran des événements ricochent jusqu’aux quasars qui se marrent, mais la vie à ras de terre n’est pas en train.

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Aux rémiges d'Icare accroché par le songe, tu pris le ciel à ses bleus, tirant du soleil des confusions sublimes et tes joues se teintèrent de pourpres délices.

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Non, rien.

Pas l'ombre d'une hésitation ni même d'un expédient. Les certitudes coulissent avec sérieux sur les dernières pentes de clarté. Rien qui aille en fumée. Le calme est stable.

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Cette place respire une telle santé que l'urbaniste y serait une ecchymose.

Ses façades sont taquines qui montent au ciel sur des sgraffites; elle a la loggia bien pendue et la tuile très offrante.

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Loué soit le lingot qui fait miroirs des fossettes d'une plaine déjà prise par le chalut des ombres.

Loués soient les saules pleurant au fil des eaux, le merle qui dactylographie bonsoir et les hérons d'été, les mouettes du gel, prématurément fraternels.

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On s’amuse bien, on vous le jure, à déplacer les montagnes, à jouer avec le feu, à faire pis que pus dans l’eau.

Qu’il est piquant de mettre une forêt en journal, de cultiver la famine, d’éclabousser le ciel.

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Myre ou Bari, Nikopol ou Sint Niklaas-Waes, ailleurs peut-être encore, on ne sait plus où s'est posé le siège de la Société Nicolas Saint suite à diverses délocalisations plus ou moins opportunes. Ce qui est sûr c'est qu'elle périclite après avoir pendant des siècles et quasiment sans partage,

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Il fait dimanche
Au ciel comme à terre.
C’est la vacance des vouloirs.

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