Au ciel comme à terre.
C’est la vacance des vouloirs.
Midi vampire
Cuve des excès d’azur
Dans la buée.
Seule aux océans de blancs,
Alouette ne sait
A quel air appartenir.
Si proches sont les confins
Qu’elle s’y heurte sans cesse.
Jubile, augure!
Exulte à ta lucarne.
S’il vole trop haut,
L’oiseau Icare
Se brûlera le chant.
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Style : Poème | Par debeil | Voir tous ses textes | Visite : 730
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