Assis sur le banc
Des laissés pour compte
Je regarde les passants
Qui se propagent comme des ondes
A travers la foule
Visières bien attachées
Ils se fondent comme coule, comme coule
Dans les hauts-fourneaux l'acier
Style : Poème | Par Benoit Walravens | Voir tous ses textes
Style : Nouvelle | Par Benoit Walravens | Voir tous ses textes
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