Tes petites mains accrochées à mes cheveux,
tu parcours mon visage de petits bisous baveux.
Tes yeux gris, d'une grande limpidité,
interrogent les miens.
Les miens qui s'émerveillent de tant de beauté.
Comment vais-je te coucher sur la toile?
Comment te traduire sans te trahir?
Comment transposer ce regard de porcelaine
qui n'appartient qu'à toi
Et qui met tant mon coeur en émoi.
Petite poupée de quatre ans,
Je reste là, plantée debout devant cette toile
que mon pinceau, tête baissée,
se refuse à gribouiller.
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Style : Poème | Par gigi | Voir tous ses textes | Visite : 896
Coup de cœur : 10 / Technique : 7
Commentaires :
pseudo : monalisa
QUEL JOLI POÈME D'AMOUR DE TENDRESSE DE BONHEUR POUR CETTE MERVEILLEUSE LINA. TOI LA GRANDE TALENTUEUSE TU RÉUSSIRAS A LA DESSINÉE SUR LA TOILE DE TON COEUR AVEC PASSION. AMITIÉ
pseudo : ciloum
je connais moi aussi une Lina qui ressemble à une poupée, vive les coincidences qui nous amènent à lire les poèmes et à reconnaître des sentiments, des personnes, des émotions.
pseudo : Phil
Pudique et touchant.
pseudo : gigi
merci Mona, ciloum phil, merci bcp
pseudo : joelattic
magnifique de tendresse et d'humilité
pseudo : gigi
merci joelattic
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