Le
temps me dure,
Je suis las.
Ni la rosée matinale,
Ni la douceur de l'aubade
Ne remettent en joie
Les heures lugures de mes nuits.
Ton image occupe l'espace,
Mon esprit, mes songes,
Tant je frémis que ma mémoire
Ne puisse lui demeurer fidèle.
Pourquoi ne puis-je t'abreuver de la brise légère ?
Ta douleur sera mon supplice,
Jusqu'à l'accomplissement, mon enfant.
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Style : Poème | Par chantal adam | Voir tous ses textes | Visite : 1097
Coup de cœur : 14 / Technique : 10
Commentaires :
pseudo : monalisa
QUEL JOLI POÈME D'AMOUR ET DE RESPECT. BRAVO.
pseudo : BAMBE
Texte très beau, très grave, une montagne d'émotion.
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