A l'hôtel de l'univers,
J'ai des relents de planètes ;
De ces lointaines hautaines
Et de ces astres qui s'éparpillent...
Au bar de l'univers,
J'ai des relents dedans ma tête ;
La patronne est vilaine,
Et c'est mon foie qui s'éparpille...
A la frontière de la terre,
Je me sens plus honnête ;
Nouveau sang dans les veines,
Et mon esprit qui s'éparpille...
Je rêve de pleine mer,
De voyages qui s'entêtent
Loin des côtes et des plaines ;
Et mon ennui qui s'éparpille...
A l'hôtel de l'univers,
J'ai des relents de peut-être,
De sans doute et de sans peine ;
Et mes espoirs qui s'éparpillent...
A l'hôtel de l'univers,
Je me façonne la nouvelle quête,
Comme une cosmique de dégaine ;
Et mes envies qui s'éparpillent...
"Toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle faite sans le consentement de l'auteur est interdite"
Style : Poème | Par karl quartino | Voir tous ses textes | Visite : 1046
Coup de cœur : 14 / Technique : 10
Commentaires :
Nombre de visites : 12120