Homme en détresse souffrant en silence,
Ce n'est point par paresse que je suis absence.
Mon coeur ayant tant Aimé cet être mirifique,
Est désormais si vidé de son bonheur onirique.

Les obsédantes interrogations trottent dans ma tête,
Tant et tant de questions sur cette vie désuète.
Les comment, les pourquoi, ne cessent de me hanter,
Quel grand désarroi de ne plus être l'Aimé.

Souffrir en silence n'est pas chose aisée,
Tant de souffrances dans ce coeur déchiré.
Âme en peine qui ne cesse ses sanglots,
Bonheur dans l'arène, vais-je échapper au taureau?

Ce chagrin ineffable, accompagné de sa faux,
Mon coeur accable de milliers de sanglots.
Sanglots de jour, sanglots de nuit,
Sanglots toujours, c'est cela la vie...

Ne sont plus optimistes mes rêves d'avenir,
Tant et tant triste cette vie à venir...
Espoir qui éperdument s'accroche,
Ne sera plus que bonheur dans mouchoir de poche...