J'avais oublié qu'il y avait un monde à coté
pourquoi le jour me ramène à la réalité
j'étais si bien dans mon reve enfermée
de goutelettes d'eau parée
j'allais le coeur si léger
enjouée, empreinte de sérénité
mon corps savourant cette langueur
n'ayant plus peur du prédateur
la musique caressant mon bonheur
sensations subtiles de courage et d'ardeur
envahissant mon etre de cette chaleur
plénitude du temps sans les heures
comptées, rythmées par des malheurs
je veux encore et encore gouter
à cette paix de rides allégées
par un amour consacré..
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Style : Poème | Par wolfsong | Voir tous ses textes | Visite : 269
Coup de cœur : 9 / Technique : 8
Commentaires :
pseudo : nani
bonjour wolfsong, je n'avais pas encore eu le plaisir de te lire,il y a tellement de bijoux sur ce site qu'il est long d'en faire le tour,et à chaque découverte je suis admirablement surprise par la beauté,la richesse des textes..j'adore tout simplement...et CDc...
pseudo :
Rêver de jour comme de nuit... Rêver à deux, c'est encore mieux ! Que ce sentiment de plénitude te soit quotidien, et que s'arrondissent et roulent les mots...ils sont déjà bien vigoureux et caressants. Un plaisir de te lire.
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