Une étincelle peut parfois suffire
Pour rallumer un feu qui chavire
Une bourrasque, un murmure, un frisson
Peuvent aussi le consumer, balayant les tisons
Il aurait pourtant suffit que tu sois là à m’étreindre
Et mon âtre ne se serait pas décider à s’éteindre
Mais tu es parti sans raison
Et tes flammes plus jamais ne me réchaufferont
La morsure et l’odeur du froid sont apparues sur mes lèvres
Alors devenues d’un pâle bleu glacé et mortel, souvenir d’un rêve
Celui qui valait toutes les peines, qu’importent les blessures
Celui qui fut brisé, d’un seul murmure.
Le vert, c'est l'espoir...
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Style : Poème | Par Chrysalis | Voir tous ses textes | Visite : 659
Coup de cœur : 12 / Technique : 9
Commentaires :
pseudo : italogreco
hello, un très joli poème,souvent les gens partent sans aucune explication, et laisse en nous un mal ssans égal, mais faut aller de l'avant,,,,,amicalement courage
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