Comme il est simple de sourire
Aussi facile de sortir un éclat de rire
Quoi de plus trompeur que la bonne humeur
Pour te cacher mes infinies et lentes douleurs
Une façade joyeuse, on ferme son coeur et son esprit
Si on ne veut plus y penser et rester en vie
On oublie et on s'efforce de dissumler ses plaies béantes
Celles qui ne guérissent jamais, Souffrances errantes
Mais ce mur n'est que tristement superficiel
Un jour il s'effondrera, viendront alors les blessures mortelles
Je ne tiendrai plus, et mes sentiments, malheurs profonds
Ils prendront le dessus, et m'emporteront.
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Style : Poème | Par Chrysalis | Voir tous ses textes | Visite : 591
Coup de cœur : 13 / Technique : 8
Commentaires :
pseudo : gigi
trés beau texte et combien véridict.
pseudo : clo
bonjour chrysalis....merci pour ton trés beau poéme qui est la vérité....CDCoeur....amicalement
pseudo : Déméter
Dire sa douleur permet déjà de lever le masque, et je vois un être à l'écriture sensible et belle. A un moment le mur est nécessaire, en secret on se construit...
pseudo : nani
bonjour Chrysalis, très beau et profond poème,je sais qu'il est facile de ne montrer que l'apparence,mais o combien il est douloureux l'instant ou l'on ose se dévoiler à l'autre,aux autres...courage et bravo CD Coeur..
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