On m'avais compté une femme,
Dont les traits fins et délicats,
Violait profondément les âmes,
Et ce, sans bruit ni fracas.
La douceur pour seule arme,
Elle dévalait les corps,
Jouant de ses charmes,
Puis, ensorcelle les plus fort.
Bon nombres se sont égarer,
Dans sa chevelure épaisse,
Rêvant encore de toucher,
L'innocente, belle maîtresse.
C'est ainsi qu'ils succombaient,
Sur une étreinte mélodieuse,
Acceptant sa main qui valsait,
Désir assassin, farouche voleuse.
Elle nous attaque la nuit,
Lorsque le crépuscule cri,
Au son de l'amour qui s'endort,
Elle nous tiens, coeur à corps.
J'ai souvent tenté d'éviter,
La folle et ardu mission,
Qu'elle m'avait alors susurré,
Tendre passion, affreux démon.
On la nomme déesse,
Grande déesse du désir,
Et ta main sur ma fesse,
A nouveau vient mourir,
Alors cette vague d'ivresse,
M'emporte vers ton envie de jouir.
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Style : Poème | Par cha | Voir tous ses textes | Visite : 1345
Coup de cœur : 8 / Technique : 7
Commentaires :
pseudo : ifrit
Hum, c'est un poème pour le moins sensuel, mais on sent que tu te retiens encore ! Ceci dit, j'aime de plus en plus tes écrits.
pseudo : cha
Perso, je n'arrive pas à sentir mon évolution, merci de me le faire remarquer. A bientot!
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