Que toute poésie semble être égarée quelque part dans les cieux
Que la Terre n'est qu'une grande fosse commune
Où les vautours s'empressent de vous faire la leçon tout en tournant autour de votre sujet
Tout serai-t-il gangréné à ce point ?
Non, fort heureusement certaine personnes se démarquent dans ce brouillard cruel
Elles rayonnent comme la douce et puissante lumière d'un phare virtuel
Flottant au-dessus de cette pénombre qui nous ronge, nous ronge
Tu es ma bouffée d'air, ma morphine, mon étincelle
Jamais je ne t'oublierai je te le promets mon éternelle
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Style : Pensée | Par rainbeau lucas | Voir tous ses textes | Visite : 572
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