Quand j'ai provoqué,
ton mortel baiser,
tu ma susurré,
"ton heure n'est pas arrivé"
J'ai retenu ton attention,
j'avais besoin de cette détonation.
Etrangement tu m'as guidé a l'amour,
l'amour de mes proches,
l'amour de ce bel ange,
l'amour de cet art.
Alors merci de ne pas m'avoir donné ce baiser,
et de m'avoir emmené jusu'ici.
Avek le coeur...
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Style : Poème | Par frederic viala | Voir tous ses textes | Visite : 630
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