Encore un soir où j'tarde, où j regarde la télé jusqu'a qu'elle me regarde, appart ça trop d'idée dans la tête pour que j'les gardes, trop ridés pour mon âge, des mots par gisement, un sourire, encore un plissement qu'ont regarde* ces lettres sont mes armes, ce monde vend les siennes et l'Afrique est au bout d'ces larmes, fada, c'est là où j’pense pas avoir le bon karma, j’peux pas faire zarma, maitriser l'art et mes larmes à elles seules sont une armada, même sans une tune j'irais au Canada, mes sons sont sur i tunes appart ça nada, j'écris à faire des chansons, et c'est tellement lourd qu'il faudrait qu' j 'écris sur du papier canson, ont s’dit s'qu'ont pense entre nous au final ont s’dit tout, tu seras rien sur notre filon, filou faut prendre des vacances a vouloir peser, beaucoup dialogue à une balance Mc, Mc j'ai pas besoin d'une plume pour montrer qu'j'ai du plomb dans la tète, les poulets sont chaud!!! comme au kfc, nous raquette au P.v., époque du téléchargement j’regrette l'époque des cassettes.
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Style : Poème | Par iboo elbadaoui | Voir tous ses textes | Visite : 753
Coup de cœur : 14 / Technique : 9
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