Tension
Quand l’aiguille implacable nous dicte d’attendre,
A côté, une voix ordonne de se détendre,
Seuls, nous n’avons rien à prétendre,
Mais un banc où s’étendre ;
A la main de se tendre.
Quand la main s’est tendue,
Vers le sol gris, étendue,
Silencieuse, l’aiguille prétendue,
Et pourtant, tombée de son ressot détendu ;
Reste la main enfin libre du temps tant attendu
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Style : Poème | Par cinammon | Voir tous ses textes | Visite : 601
Coup de cœur : 9 / Technique : 7
Commentaires :
pseudo : obsidienne
reste la mise à l'index qui montrerait que le temps a passé
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