Le regard sombre, L’homme ténébreux pénètre dans le salon.

La fierté se lit sur le visage de l’être Orgueilleux,

Cette suffisance affichée, provoque mépris et indignation,

« Mr Darcy ne daigne pas la moindre satisfaction ! »

***

Puis, il fut remarqué le manque évident de cavaliers

Pour accompagner la gente féminine à danser

Mais, Mr Darcy ne put se résoudre a convier une dame,

Mlle Elizabeth Bennett était, dit-il, dépourvu de charme.

***

Par l’entremise d ‘un homme bien décidé à les faire danser,

Nos deux intéressés furent, comme il se doit, présentés

Mais Melle Lizzie, qui comprit que ces charmes manqués,

Econduisit l’homme visé, afin de sauver l’honneur blessé.

*** 

A mainte reprise, et à diverses réceptions mondaines,

L’arrogant personnage prospéra, et cela sans peine,

A ce faire abominer, et aux yeux de la belle demoiselle

Il fut irréfutable que cet homme soit un jour à elle.

***

Mais, aussi étrange soit-il, La Dame accorda une unique danse

Au personnage qui lui inspire jusqu'à présent que répulsion,

Et à ces pas cadencés, les deux âmes furent en transe,

Ainsi ils étaient seuls, le temps d’une étroite Illusion.

***

Cependant, la prospérité qu’elle éprouvée ne fut que de courte durée,

Quand il lui fut révélé qu’il sépara délibérément deux êtres aimés,

N’étant autre que la Belle Jane Bennett, et l’ami proche de Darcy.

Il brisa le cœur de Jane, par procuration celui de La jeune Lizzie.

***

Le Bellâtre, qui avait succombé aux charmes naturels de la Dame,

Mis tout en œuvre pour réparer les erreurs commises auparavant,

Réunissant ainsi les cœurs autrefois brisés de Jane et de son amant,

Espérant conquérir l’amour de celle qui pris possession de son âme.

***

L’amour est plus fort que tout, l’amour est un grand conquérant

Nul ne peut réprimer son charme envoûteur, son pouvoir obsédant,

Elizabeth eut la preuve de l’absence d’orgueil chez son beau soupirant

Et sentit son cœur s’unir au sien, pour devenir le fruit de l’amour ardant.