Elle aimait que je lui dise des mots bas,
Et voulait que je lui baisse les bas en haut,
Ses seins sucrés en porcelaine chocolat,
Me défiaient d’un regard monté escabeau.
Ses bruits en silence ricochent,
Dans le calme d’un fond sonore,
L’atout de ses atouts est dans sa sacoche,
Son joker couleur ivoire me dévore.
Assise, les sens des ses seins sucrés sont à bout,
Alors que l’heure de notre rendez vous est révolue,
Je lui glisse un dernier délice, lisse, en retard,
Elle murmure, des petites injures, en criant à demain soir.
Si le mariage est une odeur, je redeviens fidèle,
Et si m’aimer est trop demander, je me méfie d’elle,
Une goutte de larme souffle sur la nuit,
Le crépuscule des blessures, est une aventure à vie.
C’était une scène d’amour au bord d’un abîme,
Tout y oscille, tremble il n’y a pas de victime,
C’est comme dans une banque sans matelots,
La chambre est vide comme la cale d’un cargo.
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Style : Pensée | Par joe | Voir tous ses textes | Visite : 663
Coup de cœur : 13 / Technique : 10
Commentaires :
pseudo : obsidienne
un rythme, une narration et une folie qui ressemble à la vie, merci
pseudo : BAMBE
Texte qui tourneboule et emberlificote nos images mentales, bravo. CDCoeur (encore)
pseudo : dawn
c'est une pensée qui chante comme une chanson..t'es sûr que c'est pas une chanson?
pseudo : joe
coucou tout le monde, merci, celle ci non pas encore de notes......je ne mettrais pas de texte déjà en musique.
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