Perdre ta trace dans le désert

Cette marée de sable où le vent du sud se soulève

Déchainant tout sur son passage, ton univers

Si beau, dangereux, fascinant, m’élève

Chaque jour que dieu fait un peu plus vers l’apaisement

De mon âme, mon amour pour l’Afrique est immense

Il ne se passe pas un seul jour, où mes yeux brillants

Ne regardent vers toi,   un jour je t’ai croisé une chance

Une personne au monde au moins pense à moi

J ai du respect de l admiration pour toi

Je me noie dans ton regard qui brillent,

Comme des pépites d’or, toi homme de la ville

Et moi je suis une femme de la nature

Vivant entre ciel mer et campagne apaisée

Par les tourments de la vie, je ne vis plus d’aventures

Quelles soient audacieuses, ou spontanées

 13-06-2009