Je fermais les yeux ne voulant pas voir la haine animait son visage autrefois si sage et protecteur.

Tandis que sa main me serrait la machoîre , j'essayais de ne pas trop penser au fait que cet affrontement eu était amplement mérité. Lorsque par la force des choses il eut fini de m'avertir que si je le retouché il m'écraserais , il me lâcha la machoîre . Celle-ci reprit vie mais je n'eu pas la chance de savourer ce moment car la rage et l'orgueil m'obstruaient déjà l'esprit.

Qu'il meurt voila l'envie que j'eu à cet instant précis , qu'il souffre devant mes yeux comme brûler vif par une flamme que j'aurais matérialisée.

Mais ce n'était pas possible a la place de ca, mon acte heroïque dans mon esprit se transforma rapidement en acte de soumission vu sa force.

Il m'avait deja fait souffrir et m'avait humilié indirectement cette fois-ci c'etait directement.

J'eu mêmê le temps de penser que la voisine nous aillant vu avait fermer les volets instinctivement pour ne pas avoir a ce meler de cette dispute " de couple" mêmê si désormais nous n'en étions plus un.

L'orsque pleine de rage et en pleures je le mis dehors je ressentis un léger pinssement au coeur comme-ci celui-ci avait durant 3 milliemes de secondes sauté quelque evenements et eu un relant d'amour. Ne voulant qu'aucune expression ressorte de mon visage je réfuta ce sois-disant sentiment en quelques secondes. Lorsqu'il passa le pas de la porte je su que c'était fois-ci il ne m'aimait plus , je pu décripter dans son aura la haine et la rancoeur qu'il avait envers moi.Surement meme un brin de mépris.

C'était pourtant moi qui le méprisait avant cet acte et pourtant quand je croisa pour la derniere fois son regard j'eu moi aussi du mepris envers moi meme.

L'homme que j'avais aimé était désormais un inconnu qui n'aurait pas dut entrer dans ma vie.

La frontière est si mince entre l'amour et la haine.