Publier vos poèmes, nouvelles, histoires, pensées sur Mytexte

Elle par Sabriiinax

Elle

Par cette nuit du 4 Mai, le temps était doux. La lune éclairait difficilement le ciel sombre qui s`affichait sans étoiles. Une très légere brise soufflait calmement dans l`obscurité. Une fine silouette féminine était apparante dans la ruelle. Elle portait un chandail d`un blanc pur, un pantalon d`un bleu délavé ainsi qu`une paire de chaussure aussi blanche que neige. Ses cheveux brun légèrement ondulant lui effleurait le visage. Elle marchait tranquillement durant cette nuit paisible. Cette fille avait l`air de réfléchir. Tout était calme sauf quand quelques bruits de véhicules venaient déchirer le silence de la nuit. L`adolescente continuait de marcher lorsqu`elle ce mit subitement à courrir. Elle courra quelques minutes jusqu`à ce qu`elle n`ait plus assez de souffle pour continuer. Elle avait l`air de courrir pour oublier, oublier ses problèmes qui la ronge jusqu`en dedans. Ceux qui putréfie sa vie sans lui demander son simple avis. Ses problèmes qu`elle ne pouvait désormais plus ignorer. Elle fourra sa main dans sa poche et en sortit une petite boîte de forme rectangulaire ainsi qu`un briquet. Elle émerga de la boîte un cigare et l`alluma avec son briquet. Quel plaisir de fumer après avoir patienté toute une journée. Pour elle, fumer était un soulagement. Elle continua de marcher tout en fumant son cigare. Autour d`elle, une odeur de vanille parfumait la ruelle sombre. Ça sentait si bon. Après quelques minutes, elle arriva devant chez elle. La fille ne voulait pas rentrer. Pas déjà. Elle alla dans sa cour et s`assit sur les marches de son balcon. Elle regardait la rue déserte. Une chanson lui trottais dans la tête. Elle fredonnait quelques paroles de la chanson : « Parce que je sais que tu t'en vas, A chaque jour un peu plus loin, Quelque part où je ne suis pas, Où je ne suis rien, Parce que je sais que tes prières, Ne seront plus jamais pour moi, Et tu sais que je ne peux rien y faire, Même quand je te serre dans mes bras » . Elle ne savait depuis combien de temps elle était là, assise à chantonner toujours les même paroles en boucle. Elle était si bien. Il ne fallait pas que ça s`arrête. Elle aurait voulu rester là des heures. La tête dans les mains, elle ne pouvait enlever d`horribles images de ses pensées. Elle aurait pu chanter plus fort, sa n`aurait rien changé. Tout était gravé au plus profond de sa tendre mémoire. Elle entendit du bruit. Elle leva sa tête et regarda devant elle. Elle vit une maison, ainsi qu`un jeune homme. Il était grand, terriblement grand. Ses cheveux blond et bouclé vibraient au rythme du vent. Il approcha de la clôture qui les séparaient. La jeune femme approcha de lui. Elle ne se méfia même pas. Il était accoter contre la seule protection qu`elle avait. Elle continua d`approcher sous le regard de l`homme. Il devait avoir 17 ans alors qu`elle n`en avait que 14. Lorsque elle fût finalement à quelques centimètres de lui, elle ouvrit la bouche pour glisser quelques mots mais aucun sons de sortit. Elle resta muette devant le charme que cet homme dégageait. Ils se regardairent dans les yeux plusieurs minutes. Son regard perçant la déstabilisait. Ses yeux couleur noisette étaient profond. Elle ne pouvait détourner le regard du sien. Une force invisible l`en empêchait. Il approcha finalement son visage du sien et lui vola un doux baiser qui dura quelques secondes. En détachant ses lèvres des siennes, la fille le regarda dans les yeux avec un regard plein de questions. Sans attendre de réponse, cette fois-ci ce fût l`adolescente qui s`approcha du jeune homme pour l`embrasser. Il prolongea le baiser quelques minutes. Quand cet embrassade fût terminé, la jeune fille invita l`homme du regard à la rejoindre de l`autre côté de la clôture avec elle. Il traversa la barrière et ils allairent s`assoir sur les marches du balcon où ils passèrent le reste de la nuit collés. Une autre chanson trottait maintenant dans la tête de la fille et elle ne pu s`empêcher de la fredonner : « Quand je m'endors contre ton corps, Alors je n'ai plus de doute, L'amour existe encore, Toutes mes années de déroute, Toutes, je les donnerai toutes, Pour m'ancrer à ton port, Le monde est mené par des fous, Mon amour il n'en tient qu'à nous, De nous aimer plus fort ... » Lorsque le jeune homme entendit ces paroles, il regarda la jeune fille dans les yeux quelques instants, la serra fort dans ses bras et l`embrassa. À la suite de ce baiser, elle s`endormit dans ses bras, là où elle passa quelques heures contre le corps de celui qu`elle apella désormais son amour.

"Toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle faite sans le consentement de l'auteur est interdite"

Style : Nouvelle | Par Sabriiinax | Voir tous ses textes | Visite : 919

Coup de cœur : 9 / Technique : 11

Commentaires :

pseudo : Sabriiinax

Ok, merci :)

pseudo : Motus

En fait, je sais pas trop ce qui s'est passé mais on dirais que le quart de mon message n'est pas parrut... J'le retappe: Je vois que depuis ton tout premier texte, ton vocabulaire s'est enrichi, même si parfois quelques mots ne sont pas nécessaires. Laisse moi te donner quelques conseil d'ami: Quand tu raconte les faits et les pensées de la fille de ton histoire, tu n'est pas obligée d'écrire par exemple "Elle vit une maison ainsi qu'un jeune homme.". N'est pas peur d'embarquer dans les détails et de juste tout simplement décrire la scène, comme exemple" De l'autre côté de la rue, une maison aux rideaux tirés semblait dormir, morte de toute vie, lorsqu'un beau jeune homme vint s'accouder sur la clôture..." Aussi, tu devrais quand même faire attention au répétitons ( exemple le mot "Elle" que tu dois répéter une vingtaine de fois ) et aux fautes d'orthographes. Pour ce légé problème, je te conseil un site qui corrige seulement les fautes d'orthographe et qui est très pratique: http://www.orthographe.ca/ . Peut-être aussi serait-il bien que tu fasse des paragraphes. Pour le reste, ton texte a un très bon contenu, et l'histoire est belle. Je te souhaite de continuer! Amitié, Motus.

pseudo : grutyiop

full stady by want no yes dillit monkey hhhhhhhhhhhhhhhh