Le ciel subitement prend sa couleur d'orage,
Un nuage s'enfuit propulsé par le vent.
La barque sur le quai tire sur l'amarrage,
Et le marin, aux cieux, lance l'appel fervent.
Un nuage s'enfuit propulsé par le vent,
L'animal inquiet laisse son pâturage,
Et le marin, aux cieux, lance l'appel fervent.
Le couchant sur la voile, enlumine un moirage.
L'animal inquiet laisse son pâturage.
La pluie en son début s'égrène sur l'auvent.
Le couchant, sur la voile, enlumine un moirage.
Un cétacé, là-bas, souffle sur son évent.
La pluie en son début s'égrène sur l'auvent.
Le paysan prudent protège son fourrage.
Un cétacé, là-bas, souffle par son évent.
Le bâteau, sous la brise, amorce son virage.
Le paysan prudent protège son fourrage.
Une femme au logis ferme le contrevent.
Le bâteau, sous la brise, amorce son virage.
Des mâts semblent siffler des cris d'engoulevent.
Une femme au logis ferme le contrevent.
La lumière du jour donne moins d'éclairage.
Des mâts semblent siffler des cris d'engoulevent.
Le ciel subitement prend sa couleur d'orage.
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Style : Poème | Par rene gaillard | Voir tous ses textes | Visite : 617
Coup de cœur : 9 / Technique : 7
Commentaires :
pseudo : PRINCEDUDESERT
Tres beau poeme qui decrit l ambiance orageuse.Tout est bien composé ..on sent vraimentl impact de cette intemperie qui s abat sur la terre .Seulement il manque l effet de la foudre....Amitiés
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