Le feu

Le feu qui nous condamne

Avec le plus grand des frissons

Il a tout dans le corps et l’âme

Peu importe sa flamme

Il nous fait vivre de belles soirées

Où il provoque de grands drames

Mais par l’instinct ou le secret

Il peut dévasté nos campagnes

Brûle, sans faire de drames

Apporte nous ta chaleur sans la peur

Fait nous voir ta divine flamme

Pour que nos campagnes t’est dans le cœur

Le feu est d’un tempérament héroÏque

Quand il se consume, il est balaise

Il chauffe, il brûle, il crépite

D’un morceau de rien il devient braise

Le feu peut devenir une très grande arme

Il est sournois et hypocrite

Mais l’homme est la pour donner l’alarme

Car le feu n’a pas de mérite

Brûle, sans faire de drame

Apporte nous ta chaleur sans la peur

Fait nous voir ta divine flamme

Pour que forêts et campagnes

Respirent a cent à l’heure

Rouaux yann écrit le 18/08/2003