La pudeur

O doux sommeil

O nuit à moi heureuse

Plaisant repos plein de tranquillité

Continuez toutes les nuits, mon songe

Et si jamais ma pauvre âme amoureuse

Ne doit avoir de bien en vérité

Faites au moins qu’elle en ait

En mensonge

La pudeur, elle ignore

Celui qu’elle aime compte seul

Tu est toute seul

Ou tout mon mal et mon bien

Avec toi tout

Et sans toi je n’ai rien

O doux réveil

O nuit avec trop de rêves

Réveillé avec les draps souillés

Dont la nuit c’est moquée

Et si on rêvé à une image de bonheur

Qui a su se faire aimé

Qu’elle s’avance par hasard et non par erreur

Une vision, une voix qui reste enfermé

La pudeur, elle ignore

Celui qu’elle aime compte seul

Tu est toute seul

Ou tout mon mal et mon bien

Avec toi tout

Et sans toi je n’ai rien

Rouaux yann écrit le 29/09/2003