Devant la mer, le vent dans nos cheveux

Nous tenant par la main, Nous nous promenions

Emmitouflés dans nos coupe-vent, heureux

Nous n’avions pas besoin de parler, avec grand soin

Tu a pris soin d’effacer devant mon passage les dangers !!!!

Anticipant les imprévus, très délicat de ta part,

Toi, à la carrure athlétique, homme discret !!!!

Tu me sembles immense, bercée dans tes bras, nulle part

Nous n’aurions pu être mieux, enlacés face aux éléments

Etonnés d’être bien, au loin sur la ligne de l’horizon

Ont regardaient, riant de tout comme des enfants

Partager l’odeur de l’iode, aspirant cet air vivifiant, hum comme c’est bon

15-05-2009