Je t’avais brisé le cœur,
Piétiné ma pauvre fleur.
Effacée par la douleur,
Mon âme fuit et moi je meurs.
Victime de ce pur hasard ?
D’un crime, de cette magie noire ?
Cette buée, ce lourd brouillard
Ont brulé tous mes espoirs.
Des larmes sont tombées
C’était toi qui pleurais
Et moi à tes côtés
Mais tu ne le croyais.
Je suis là, je n’ai pas cru
Que privé de ta tendresse,
La vie n’est qu’une chose qui blesse.
Je t’en prie, je n’en peux plus.
Viens me dire que tu pardonnes
A mon corps inanimé
A mon cœur qui se détrône ;
Un menhir, tu détruirai.
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Style : Poème | Par climatic | Voir tous ses textes | Visite : 822
Coup de cœur : 9 / Technique : 9
Commentaires :
pseudo : obsidienne
il est lourd à porter ce pardon... mais avec tous les lecteurs réunis, ce poème devrait y arriver
pseudo : climatic
Espèrons! :)
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