Pieds nus, je foule la poussière dans une nuit qui s'affole.
Des étoiles tourbillonnent aux confins de la terre brulée,
Où il n y a nul hommes pour cueillir les fleurs du mal, le cœur des femmes.
Ne me reste que le songe d'un souffle qui se meurt sur des lèvres persiennes.
Encore ce mirage devant des yeux sans larmes,
Une âme se consume dans une nuit empoussiérée par le passage lumineux d'un souvenir ou bien d'un vœu.
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Style : autre | Par jamendo | Voir tous ses textes | Visite : 712
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pseudo : PHIL
TROUBLANT . INQUIETANT ET PRENANT.
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