On a mis le feu aux deux bougies,
Puis ils ont fondu, comme par magie...
Les cafards de l'orient se sont dispersés dans la nuit,
Laissant derrière eux, terreur, larmes et sang.
Vogues les gondoles de mes Gondors!
La terre du milieu, s'il vous-plaît!
Celui qui veille, comme celui qui dort
Rêve de sécurité, et de paix...
Que l'on appréhende les allées et les venues,
Les malléables, ou les impondérables,
Comme réponse, il ne nous reste plus,
Que les sursis indubitables...
Que l'on soit roi ou Dieu,
Dans la foi ou dans la fête
S'élève bientôt dans les cieux
La fumée noire de la bête...
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Style : Poème | Par peace | Voir tous ses textes | Visite : 409
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Commentaires :
pseudo : PHIL
UN AIR DU SEIGNEURS DES ANNEAUX.SYMPA.A+
pseudo : deborah58
C'est vrai que l'atmosphère rappelle le Seigneur des anneaux. Un hasard?!
pseudo : scribio
Superbement bien écrit, le seigneur des anneaux revisité.
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