Adieu ! Veaux, vaches, cochons...

La vipère, ici bas, tout son sens ;

lézards font partie de l'histoire, aujourd'hui, ils sont au porc de l'abîme...

Les requins de la finance, quant à eux,

Commencent à nous faire praire ! Ils se taillent la part du lion, ses loups-phoques !

Eux ils roulent en jaguar, contre l'oie de la nature...

Tu aimais taquiner le goujon, maintenant, tu as le bourdon...

Les poules sont over ? Souris ! La politique de l'autruche est de mise !

Taon sole est sale, et tu es le dindon de la farce !

Geai peur qu'ils fassent mouche, car ils savent noyer le poisson...

Mais si nous pigeon que l'on su phoque, que ce n'est putois qui dirige,

Dans un élan qui nous émeu, ils faut leur donner une salamandre !

Prendre le taureau par les cornes !

Nous ne sommes plus serins : rat la casquette !

Vrai ou faucons ? Une petite poignée à mygale, et

Ils nous font passer pour des petit-gris, au milieu de vaches au pivert !

C'est le miroir aux alouettes, ou caïman la même chose !

Le monde marche en crabe, et communique en morse...

On ne peut ménager la chèvre et le chou !

Marre de servir de cobaye et d'avaler des couleuvres...

Mésanges bleues ne sont plus au paradis... Paon ! c'est la mort du cygne...

Nous devenons tous dingos, ou koala ? Pourquoi on se lamantin ?

Muets comme des carpes, à faire des yeux de cockers...C'est ce qui m'effraie.

Le fou de passant, bête à manger du foin, n'est pourtant pas manchot !?

Lombrics lubriques, malins comme des singes :

Votre bave de crapauds n'atteint pas les blanches colombes !

Votre œil de biche et vos larmes de crocodile ne cassent pas trois pattes à un canard !

La chance va vous poser un lapin, car vous êtes éphémères...

Il arrive, le temps de chien ! Comme l'araignée tisse sa toile...

Tous droits réservés par et texte de :  Blanche Plume