elle ouvra un ballot étaient deposé devant la porte elle le rentra et hesita un long moment avant de l'ouvrir puis elle finit par decouvrir deux poupées ;

l'une d'elle etait un jeune homme habillé d'une longue cape noire brun les yeux remplit d'espoir, l'autre etait d'une ignominie terrifiante.

Il y avait comme une sorte d'invocation ,elle lut:

VIVANT TU S£RAS

MON AMANT TU D£VI£NDRAS

PLUS JAMAIS TU N£ M£ QUITT£RAS

A MOI TU APPARTI£NDRAS

l'amant se leva et dit d'une voix claire et legere ;

"Bonjour mon nom est vadim, je suis tiens pour l'eternite, puis je t'apporter le bonheur que tu merite."

Elle decida de laisser cet immonde clown de coté, et elle expliqua sa si courte et pourtant si miserable vie.L'amant lui murmura dans le creux de l'oreille:

"Tu n'es plus seule, et moi je suis enfin libéré des tenebres, je pourrai etre le soleil que tu n'as presque jamais vu, je vais m'occuper de Mme Buckwheat."

Quand la vieille femme montra son nez la semaine suivante Vadim lui sauta a la gorge, l'etrangla de toutes ses forces.

Pour ne pas la laisser agoniser comme une vulgaire truie, il lui planta un poignard dans le coeur.

Johann se sentit soudain effrayé mais elle éprouva un sentiment qui la rendit comme jamais elle n'avait été:heureuse.

Elle se sentit debarasser de ce boulet accroché a son pied depuis de longue années.

Certes elle n'avait pas trop compris ce qui été arrivé mais elle été libre .

Elle embrassa Vadim et lui promit qu'elle lui en serait reconnaissante.

Les premiers jours, ils les passerent sérré l'un contre l'autre a raconter leurs histoires et a se demander qu'est-ce qui pouvait bien les attendre dehors.

Ils deciderent que Vadim sortirait dans quelques temps,seul voir ce qu'etait Ipswich.

La vieille Mme Buckwheat commencait a deperir et a degager une odeur atrocement pestidentielle.

Vadim opta pour la mise en terre dans le jardin.Comme il fesait nuit noire, Vadim decida d'y redescendre le lendemain pour regarder si son tombeau fait maison n'etait pas trop suspect.

[A SUIVRE...]