La folie fait partie de nous
Elle dirige nos actes
Jusqu'à engloutir la moindre connerie comme un trou
Et a manquer souvent de tact
Une euphorie d'un instant
D'une envie de bonheur immédiat
On prend des drogues sans savoir pourquoi
Et on se retrouve dix étages plus bas
On garde tout pour soit
Un jour ça explosera
Et on te reconnaîtra pas
Mais on te comprendra
Toutes ces questions existentielles
Que l'on se pose tard le soir
Lorsqu'on aimerait rejoindre le ciel
Et faire la fête tous les soirs
"Toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle faite sans le consentement de l'auteur est interdite"
Style : Réflexion | Par Rainbeau Lucas | Voir tous ses textes | Visite : 718
Coup de cœur : 15 / Technique : 12
Commentaires :
pseudo : deborah58
Toutes ces questions existencielles peuvent être à la fois un poison et une libération : le tout pour toi est maintenant de parvenir à trouver un juste équilibre. Te poser ces questions mais être en mesure de t'en libérer quand elles agitent ta conscience de soubresauts trop passionnels. Amicalement
pseudo : monalisa
LUCAS TON POÈME NOUS TRANSPORTE DANS L'ABSOLU MYSTÈRE DE CE QUI NOUS TOURMENTE A UN MOMENT DONNÉ DE L'EXISTENCE.MAIS IL EST BON DE FAIRE LA PART DES CHOSES POUR POUVOIR AVANCER DANS LE BON SENS. MALGRÉ TOUTES CES QUESTIONS EXISTENCIELLES LE BONHEUR FRAYE SON CHEMIN AFIN DE NOUS MENER AU SUMMUM DE LA VIE BIEN SUR SI ON L'EMPREINTE AVEC FORCE. BONNE CONTINUATION.
pseudo : BAMBE
Fuite en avant, fuite au-delà d'une Vie déjà si courte qu'il faudrait apprendre au plus tôt à en goûter les douceurs avant que de se fabriquer des paradis artificiels qui nous "enfer ment" les yeux et le coeur. Ton poème exprime bien l'essence de cette ambiguïté: vers quel paradis se tourner?
pseudo : Rainbeau Lucas
J'ai écris ce texte après une soirée où un de mes amis a tenté de suicider plusieurs fois et avec un autre ami on devait le frapper et le mettre à terre pour qu'il ne lui arrive rien et ça ma beaucoup marqué. Mon père étant bi-polaire et ayant fait trois mois d'hôpital psychiatrique je sais de quoi je parle :)
pseudo : monalisa
JE SUIS DÉSOLÉ LUCAS. JE NE POUVAIS SAVOIR TA SOUFFRANCE,EXCUSE MOI ENCORE. MOI QUI TE PARLAIT DE BONHEUR , TU SAIS ON DIT QUE LES MOTS PEUVENT APAISER LES MAUX DU COEUR ET DE L'ÂME.
Nombre de visites : 17231