Tel le sel qui ronge les bâtisses du littoral,
Un amour assiégé par des désirs irréalisables,
Planant, futiles, tels les grains de sables,
Qui volent sous la brise, buts insaisissables,
Le fumée de l'opium, offrant la douce mort,
Envie, de toute une vie, qui lui coûtera la vie,
Les relents d'alcool, piquent le nez, sont si forts,
Détruisent le bonheur, d'une existence enfouie
L'arme à la main, la larme à l'œil, la tuerie s'engage,
Les pleurs d'impuissance, font office de gage,
Assurant défaite certaine, détresse souveraine,
Du lourd fardeau de l'échec, on se résigne avec peine
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Style : Poème | Par dark-fate | Voir tous ses textes | Visite : 872
Coup de cœur : 10 / Technique : 8
Commentaires :
pseudo : deborah58
Faut-il vraiment se résigner Dark-fate ? La résignation n'est-elle pas finalement l'expression d'un désespoir ? En réussissant à vaincre ce désespoir,ne peut-on pas combattre au contraire et alléger un peu ce fardeau de l'échec ?A+
pseudo : PHIL
POEME ANGOISSANT . COMME TU LE DIT JUSTEMENT ON SE RESIGNE AVEC PEINE. ALORS PEUT ETRE N ES TU TOTALEMENT RESIGNE .CE POEME EST BEAU INCONTESTABLEMENT. ALORS CONTINUE D ECRIRE.A+
pseudo : Claudie Becques
Il ne faut jamais se résigner Dark-fate ! Tiens tu me donnes envie de poster un ancien poème : "Hymne à la vie" que je te dédie. Clo
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