Toujours présente,
Bien souvent pesante
Reine de l'indécision,
Se nourrissant de questions
Tu ressasses sans cesse, tu paralyses, tu immobilises ,
Tu hypnotises, tu n'en fais qu'a ta guise
Oh pensée tu es pour certains si naturelle et banale
Mais tu deviens un ennemi pour ceux qui vivent dans leur mental
Alors que faire de toi te nier ou bien t'arrêter
Impossible, il faut simplement t'accepter et t'apprivoiser
Te regarder de loin tel un spectateur
Car ici tu ne peux rien, dans cet espace intérieur
Je ne serai plus ton esclave, tu seras mon outil
Et alors nous pourrons devenir amis
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Style : Poème | Par Freemind | Voir tous ses textes | Visite : 431
Coup de cœur : 12 / Technique : 10
Commentaires :
pseudo : Brestine
S'allier est sans doute le meilleur des conseils, pour ne pas sombrer.
pseudo : PHIL
ESSAYER DE NE GARDER LES BONNES D EVACUER LES MAUVAISES.PAS SIMPLE. A+
pseudo : scribio
Réflexion trés intéressante, mais il est difficile de dompter nos pensées, seulement chasser les unes par les autres.
pseudo : Ari07
Très joli poème. La pensée n'est rien et est tout à la fois...Bravo.
pseudo : asicq
lui parler c'est lui prêter consistance, lui donner vie. c'est pour cela que nous sommes aussi nombreux sur ce site, je crois que nous nous parlons tous, non ? joli texte.
pseudo : BAMBE
Une bataille que nous avons tous tenté de mener, je m'y suis aussi ramassée, temporisons donc puisqu'on ne peut gagner.un beau texte.
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