Je m'éveille dans un monde de sang et de soufre
Dans un drap de feux ardant qui réclamé ma douleur
Trop prés d'un serpent de braise qui frétille de bonheur
Puis il disparaît dans de la lave qui sorti d'un gouffre
Dans un vacarme de charme guerrier
D'un regard éphémère je regarde une chimère
Sortir de la fumé éclairé d'un éclairé lunaire
Avec une impression glaçant sang dans l'air
La bête s'avance avec un sourire sans me faire d'avance
Et me séduit perfidie qui me torture de cri
Il me montre un avenir qui me fait perdre patience
À la vision de gloire j'accepte le futur prix
Je ne peux ni haïr Belzébuth et ni encore moins l'aimé
Mais je peux affirmer que le monde à l'enfer est polycopié
Ce nouveau chez moi me parait être un bel endroit
Je serai acheteurs d'âme sur terre avec mille droits
"Toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle faite sans le consentement de l'auteur est interdite"
Style : Poème | Par nassur | Voir tous ses textes | Visite : 804
Coup de cœur : 11 / Technique : 10
Commentaires :
pseudo : deborah58
Un poème empreint de magie.
pseudo : nassur
le paradi ou l'enfer il ne tien ka nou de choisir, pour moi le choiest fait - merci
pseudo : leslie
ton paradi néfaste mon frère vaut mieu que toute les quete sans raison sois fière
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