La tête
Attenante au cerceau mort
Comme d'éternels palabres inutiles
Une vue sur le lointain
Qui offre d'étranges murmures
Où sont-ils
Vos mots
Avortons de la bouche
Bérengère n'a plus souri
Peut-être ses cils ailés
Gare d'azur sur l'orage
Ses yeux
Les éclairs
Lentement ses jambes ont rejoint
Dans leurs contorsions
L' absurdité des inutiles
Criant contre la mort
La buée des centres obscurs
S'acharne et se désole
Symboliquement je suis beau
La suite
Un énorme rire suinte du soupirail
La damnation
Faust regarde.
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Style : Poème | Par poete83 | Voir tous ses textes | Visite : 471
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