J'ai senti ton pouls
La circulation de ton sang
L'aménité de ton regard m'a encouragé
Je me suis rapprochée de ton univers
J'ai réussi à l'effleurer du bout des lèvres
Et j'ai eu mal au cœur
A vouloir toucher ta douceur
La nausée, la sueur, dix mille palpitations
Je mourrai en te touchant
Et j'ai voulu écouter ton âme
Je sais que je me suis rendue coupable
J'ai alors décidé de demander pardon
Je me suis agenouillée devant ton corps endormi
Les pleurs sont venus
Sans la peine
Des pleurs de pénitence
Ils ont mouillé ton linceul
Et j'ai adoré ta respiration lente et envolée
Comme j'aurais aimé m'étendre près de toi
Pour la palper encore une fois
Tu n'es plus présent que dans mes maux
Mes douleurs t'appartiennent
Mes mots parlent d'eux-mêmes
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Style : Poème | Par Batoule | Voir tous ses textes | Visite : 468
Coup de cœur : 10 / Technique : 7
Commentaires :
pseudo : deborah58
Un poème trés émouvant.
pseudo : scribio
Beao pôeme.
pseudo : obsidienne
un coma poétique, une force absolue
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