Une fourchette mariée à un couteau,
C'est balaud et c'est bête.
Ne m'en contredira pas le café qui fait la cour au thé
Car on ne marie pas les couteaux avec les fourchettes.
La princesse de Galle au pont d'Alma,
Ce n'est pas qu'elle eût la galle mais monter au mât, elle tentait.
Un chauffeur miraculé torturé par les journalistes,
C'est la presse qui s'en réjouit !
Du vin comparé à de l'eau...
J'ai peu de m'empoisonner
Mai spas avec celui qu'on imagine
Car pendant que l'eau a passé sous les ponts, le vin s'est bonifié.
Du parfum à côté d'escrément...
C'est une odeur bien répugnante
Qui émane des femmes
Tombées dans le flacon de parfum.
Quand Yves Saint-Laurent rencontre Tati
Mon oncle saute de joie, :
Il ne s'habille pas chez Lacroix
Mais adore porter celle de Dior.
L'hôpital accueille les blessés...
C'est musclé et c'est vital.
Qu'en pensent les fêtards
Qui quittent le bar ?
Ceux-ci finiront dans un fossé
A force d'avoir roulé
En voiture défoncés.
Les pompiers, on aura appelés.
Ces derniers ne sont pas vêtus d'YSL,
Carburent à l'eau et sentent le parfum d'Alma
Mais c'est au couteau et non aux pincettes
Qu'ils prodigueront les secours.
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Style : Poème | Par bababilou | Voir tous ses textes | Visite : 514
Coup de cœur : 8 / Technique : 7
Commentaires :
pseudo : PHIL
TRES ORIGINAL ET PLEIN DE VERITES
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