Paris,
3 juin 2009.
Hélène ,
C'était bientôt la fin des cour , nous allions passé nos examens. Je travaillais tellement.entre les révision et mon job a mis temps dans se bar pourri du coin de la rue Napoléon que je ne sortais même plus. Il faisait beau et le soleil taper tellement fort qu' en servant les sorbet sur la terrasse du café j'avais attraper des coup de soleil sur la nuque.Le patron m'avais laisser un jour de repos , j'avais décidé d'oublier le bac ce jour la.Je suis sorti dans le parc près du lycée , tu t'en souvient de se parc? Il faisait moins chaux se jour la et le ciel était couvert.Je me suis assis sur un banc et en face de moi , assise dans l'herbe une jeune fille au cheveux couleur or qui volé dans le vent lisait un livre , je m'en souviendrais toute ma vie , et ton visage pale et fatigué... Ce fut la premier fois que je t'aperçu Hélène . Tu lisais un livre , on t'aurais dit plongé dedans , pas une foi tu n'a le lever tes yeux qui balayé ses lignes. Dans mon infini intérieur j'espérais que tu les lèvent et que nos regarde se croisent... Mais pas une fois tu n'a lever les yeux vers moi.Un Vent frai caresser mon visage , décoiffé mes cheveux qui me tombé dans le yeux. Je leva la tête et regarda le ciel , il était Gris et des goûtes d'eau venant de nulle part s'écrasaient sur mon visageEt venaient glisser dans mes cheveux décoiffer par le vent de cet après midi d'été.J'ai penser repartir , et mes yeux se sont a nouveau posé sur toi , tout le monde autour de toi courait se mettre a l'abri , la pluies était de plus en plus violente , et toi tu restait là , assise dans l'herbe ton livre dans les mains et ton regard plongé dedans. Tes cheveux long qui dansaient dans le vent dégoulinaient d'eau a présent les goûtes continués leur chemin sur tes épaules , tes bras , tes mains.
Je m'approcha vers toi doucement , en arrivant à ta hauteur j'enleva mon pull et je le déposa sur tes épaules humides. Ton regard se détacha des lignes de ton roman. Enfin tu leva les yeux vers moi. T'es yeux étaient d'un noir profond et envoûtantEt puis je t'es tendu la main , dit Hélène tu t'en souvient?Tu la prise je t'ai un peux tiré pour que tu te lève tu a lâché ton livre qui c'est étendu par terre. Tu t'es rapprocher de moi et tu a rentré ton regard dans le mien , c'étais comme si tu chercher a savoir ce qu'il a avait au plus profond de moi , je voulais tourné la tête me détourné de ton regard , mais je n'ai pas pu.Enfin tu as baisser tes yeux et je t'es pris avec moi , et t'es mis a l'abri sous un Grand chêne.Nous somme resté planté sous cet arbre comme deux con jusqu'à ce que la pluies cesse .Je t'es demander si tu voulais marché un peux tu n'a pas répondu . A la place tu tes collé contre moi et a enfoui ton visage dans mon cou et tu t'es mise a pleuré. Je t'es serrer fort , et n'es rien dit , puis tu a relever la tête et nous sommes partis marcher. Tu ma raconté ta vie et j'ai pu en savoir plus sur toi.
Tu t'apellais Hélène James tu avait dix-sept ans . 18ans tu appelais ça l'age libre mais terrifient a la fois. Je t'es répondu que c'était la parfaite définition de la liberté , infiniment grand et terrifient. Ton père était parti et ta mère c'était tuer quand tu n'avais seulement 11mois. Ta grand-mère t'avais élevé , a sa mort , il y a un ans , tu étais venu vivre ici , chez ta grande tante. Tu n'as pas eu une vie facile ...
Je t'es quitté ce vendredi après midi d'été. Je t'avais dit biensur ou je travailler , dans l'espoir que tu vienne me voir.
Avant de rentré chez moi je suis repasser au parc , car tu avait laisser tombé ton livre dans l'herbe mouiller par la pluie . Je l'ai pris dans mes main et je suis assis par terre et l'ouvrit. Ce n'était pas un Roman , c'était un livre de poème. Tu avais entouré un poème en rouge. On ne pouvais pas tout lire car la pluie avait fait coulé l'encre qu'il y avait sur les pages. Mais je me souvient avoir pu déchiffré deux vers : « vienne la nuit sonne l'heure , les amours s'en vont je demeure » j'avais pu lire aussi que c'était un poème de Apollinaire. J'ai refermé le livre , je l'est soigneusement ranger dans mon sac en espérant pouvoir te le rendre un jour.
Pendant un semaine , j'espérais chaque jours que tu vienne au café pourri dans le quel je travailler. A chaque fois qu'un fille a la silhouette fine et au cheveux blond retrait dans le bar mon cœur cogné a toute vitesse dans ma poitrine , ma respiration s'accélérais , je m'approcher et a chaque foi la même déception , ce n'était pas toi.
La semaine d'après tu est venu , finalement , j'ai demandé mon après midi a mon patron , il me la laisser. Tu a voulu que l'on s'assied sur un banc je t'en amené dans le parc , près du lycée , nous nous sommes assis. J'ai sorti ton livre de mon sac , je te l'ai tendu. Et t'es dit doucement « vienne la nuit sonne l'heure les amours s'en vont je demeure ». Tu m'as souri comme jamais tu ne l'avais fait a notre première rencontre. Tu t'es approché de moi et nos lèvre hésitantes se sont frôlés. Et timidement tu ma embrasser. J'ai passer ma main dans tes cheveux , tu a basculer la tète en arrière , je me suis pencher vers toi , et notre baisser fut l'un des meilleure moments te doute ma vie , Hélène.
Tu ma glisser a l'oreille « sous le pont Mirabeau coule la Seine et nos amours Faut il qu'il m'en souvienne La joie venait toujours après la peine . C'est comme ça que commence le poème. » m'a tu dis.Puis nous avons du nous quitter .
Tu as commencer a traverser la rue , je t'es apeller parce que tu avais oublier ton livre. Tu t'es retourné et tu ma fait un immense sourire et tu a prononcer du bout des lèvre « je t'aime Nathan ».
Je n'est pas eu le temps de te dire de ne pas resté la , de hurlé pour te dire qu'un voiture arrivé a tout allure que ton corps inanimé dans un flaque de sang était déjà étendu sur la route.Je t'aimais Hélène et la vie ne ma pas laisser le temps de te le dire avant qu'elle ne t'arrache a moi.
Je suis marier maintenant et j'ai trois magnifiques enfants . j'ai des petites rides au coin de yeux et il y en a qui apparaissent sur mon front. Je vieilli , toi aussi tu aurais du avoir le droit de vieillir.Nous somme le 3 juin 2009 Hélène . Cela fait aujourd'hui 20ans que tu m'as a quitter , que tu m'as laisser seul , plus que jamais . Oh ! Con que je suis comment puis-je te le reproché?
J'ai une dernière chose a te dire :
«
Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Et nos amours
Faut-il qu'il m'en souvienne
La joie venait toujours après la peine
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure
Les mains dans les mains restons face à face
Tandis que sous
Le pont de nos bras passe
Des éternels regards l'onde si lasse
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure
L'amour s'en va comme cette eau courante
L'amour s'en va
Comme la vie est lente
Et comme l'Espérance est violente
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure
Passent les jours et passent les semaines
Ni temps passé
Ni les amours reviennent
Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure »
Nathan
De: Màà.D
Désolé pour les fautes d'orthographe , j'ai seulement 14ans...
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Commentaires :
pseudo : Brestine
J'ai adoré cette lecture ! Le récit de la rencontre est mignon comme tout. Fleur bleue comme je suis, je ne peux qu'être séduite et puis tu y mêles de la poésie ! Alors je suis comblée. Merci pour ce moment.
pseudo : Majdouline
Tout d'abord bienvenue sur mytexte. Cette nouvelle est magnifique, j'ai beaucoup apprécié à la lire et surtout le poème...,et je trouve que tu as beaucoup d'imaginations et ça c'est une belle qualité. Amicalement.
pseudo : volatile
Bonjour, elucubratioooooooooooon!!! Je me suis finalement attardé sur ce texte, pour savoir où tu voulais aller avec ces personnages. Et j'ai adoré aussi. Il est effectivement magnifiquement bien raconté, avec beaucoup de détails qui le rendent très vivant. Petite déception pour la fin, qui est tragique, bien sûr, mais un peu trop brutale aussi. J'aime le dernier paragraphe, où tu parles vraiment comme un adulte qui se trouve au milieu de sa vie. Et enfin, le rappel du poème d'Apollinaire est une superbe et très jolie idée. J'adore donc. (et tu as raison, attention à l'orthographe, car il y a plein de personnes qui n'ont même pas envie de lire un texte mal écrit, et c'est dommage pour un texte aussi beau...) Félicitations donc, et continue!!
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