Lueur blanche du matin,
Comme un lendemain au goût de miel
Et le noir de la nuit
Laisse place au jour doré de regrets
Deux cœurs qui bâtaient à l'unisson
Comme le temps d'un printemps
Séparés dans le rouge du soleil levant
Et les vies reprennent comme avant.
Indifférence, toi qui sommeil
Tu prend son cœur et l'ensoleille
Mais c'est le noir qui l'attend
Loin de tes bras aimants.
Mère de toutes les souffrances,
Langueur dans ton insolence,
Tu lui donnes des rêves
Qui n'auront jamais de trêve
Ainsi vivent les amants,
Qui le temps d'un printemps
Imaginent des lendemains,
Sans lueur blanche du matin.
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Style : Poème | Par Alice kayn | Voir tous ses textes | Visite : 1044
Coup de cœur : 11 / Technique : 11
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