Le ciel lançait des fleches lumineuses
et foudroyantes.
La colère du ciel était hargneuse
maldorantes.
Dans l'air,flottaient des éffluves mortelles
et urticantes.
C'était comme un jour noir,immortel,
enfer de Dante.
La pluie avait céssé depuis peu.
Les nuages vides avaient disparus.
De cette averse soudaine et drue
ne restait qu'un sol trempé,honteux.
Les arbres eux meme pleuraient la misere,
humidifiante.
Les tourterelles ne s'y posaient plus
si déroutées.
Maintenant venait une nouvelle ére,
la surprenante.
Une ville ou tout le monde afflut
la nouveauté.
Voici l'ére nouvelle qui s'offre à vous.
Des choses que vous n'avez jamais vues,
les contours de nos villes sont mis à nu,
les assiégeurs se mettent à genoux.
Faucons,aigles et tous les prédateurs
employez vos talents pour les dieux.
Laissez en paix le petit mulot,
arrachez-vous de votre torpeur
et envolez vous vers cet ilot
ou vous tous vous y sentirez mieux.
Un renouveau va nous arriver.
Ce vieux monde va nous faire hériter
d'une sagesse jamais égalée.
Celle que l'humain n'a jamais trouvée
sans cesse cherchée,jamais découverte,
toujours gagnante,toujours sans perte.
Le loup lui-meme sentit le danger,
omniprésent.
L'ouie et l'odorat lui donnaient
un avertissement.
Des bruits qui reveillaient les bébés
bien endormis
Des bruits bien génants qui lui intimaient
d'etre gentil.
F.L.B......
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Style : Poème | Par fab | Voir tous ses textes | Visite : 469
Coup de cœur : 9 / Technique : 9
Commentaires :
pseudo : obsidienne
joli rêve, beau projet que cette sagesse, petit mulot deviendra gros
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