Tu sais que la vie n'est pas simple ici,

Les gens nous jugent, les gens nous tuent ici,

Tu es si désirée par mes sens et mon coeur de femme,

Tu es là déjà dans mes pensées et tous mes gestes délicats,

Dans mes sourires, mes envies, mais surtout dans mes larmes,

Ces larmes qui coulent pour toi, pour moi, pour nous,

J'ai mal, j'ai peur, je t'aime, mais ils nous haïssent,

Ils ne veulent pas te connaître, comme ils ne veulent pas me connaître,

De cette volonté de nous détruire, naîtra l'impossibilité de te donner la vie,

Pardonne moi, je t'aime....

A toi l'enfant que je n'aurais jamais....