Je voudrais cueillir tes larmes
Soulagé ton corps qui se meure
Purgé se poison qui condamne
Condamné a compté les heures

Tu résiste, et malgré sourit
Ne dévoilant jamais tes peine
Dit comment fais tu mon ami
En attendent, lui, ton coeur saigne

Il est des choses qu'on ne peut dire
Je sais que sa serai déplacé
Alors laisse moi tes les écrire
A défaut de te les murmuré

Je me heurte alors à mes peurs
Cette peur de faire un faut pas
Peur de te compter le bonheur
Alors que toi... tu t'en va

Je voudrais te dire que tu guériras
Mais se serai faire partit des voleur
Voleur qui nous mente ici bat
J'les appelle les médecins menteurs

Ils mon dit que tout irai bien
Combien de fois le même refrain
Conclusion, on n'était pas prés
Quand la nuit la emporter

Voila tu sait tout de mes silence
Un pas en avant, quatre en arrière
On a beau prendre de la distance
Tout reviens comme si c'était hier

Je sais que tu ne voudrais pas
Que je te dise, je suis désolé
Pourtant je le suis crois moi
Et je me sens triste et désarmé

Je voudrais cueillir tes larmes
Soulagé ton corps qui se meure
Purgé se poison qui condamne
Condamné a compté les heures

Est malgré tes doute,tes peur,tu plaisante
Est ri de nos COM pourri
Au fond, tu chéri chaque instant
Toi tu sais se que vaut la vie....

PS: c'est toujour délica de parler a coeur ouvert avec une personne atteinte d'une grave maladie, sa fait un effet boumrang, on se sens géné on sais plus quoi dire, sa fait un vide, la phrase qui reviens souvent quand on est heureux de voir la personne sava tu va bien? erffffffff enfin non comment sa peut aller!!!! je me souviens, souvent j'allais au soins paliatif voir mon beau pere, je devais toujours faire stille tout va bien je vais, il, nous allons bien, une image de faut....
alors que non rien n'allais,nos sourire était devenu otomatique

Se que maman savais pas c'est serge me parlais a moi il s'avais et a chaque repas il en plésantais a table il nous envoyais dans la figure du genre "faut qu'on face sa!!! parceque j'vais bientot mourir"...... j'ai toujour ravaler mes larmes est je riais avec lui parcequ'il voulais croquer les heure, les jours les mois voir les année qui lui restais.... Mais dans le fond je reste cette lache qui continu de faire semblant quand je croise une personne qui souffre, je lui parle lui souri, je fait comme si tout allais bien, on parle de tout sauf de cette p...... de maladie, et quand je me retrouve seule je me laisse glisser contre le mure et je me mais a pleuré parceque je ne peux rien faire...... je pense que la personne pour qui j'ai écris se texte se reconnaitra.... la seule chose que j'espere c'est que je ne l'aurai pas bléssé.....je laisse trop souvent mes émotion l'emporter sur se que j'écris......mais quand sa me fait mal faut que sa sorte......