C'est par delà cette eau rosée
Qui coulait déjà sur sa tige
Que l'au delà, que la voltige,
De la fleur dans la rosée
Effleurent une hanche osée.
Elle se courbe, elle s'oblige
et fige une orbe qui s'aflige
Sur une ligne reposée.
D'elle, qu'importe le parfum
Ce qu'elle porte a son bras fin,
Et si s'effeuillant lentement
Ces fletrissures sont rapines
D'une finesse infiniment
Le sang blessé de ces épines
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Style : Poème | Par fantomiald | Voir tous ses textes | Visite : 755
Coup de cœur : 9 / Technique : 7
Commentaires :
pseudo : gigi
trés joli texte sur la rose
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