Que des murs éprouvés
tapissés de rêves mal construits
sans offense, sans orgueil
l’eau touche
les lendemains âpres
que nous offrira la vieille horloge arrêtée
Vite une lame ! au temps passé tiens !
elle me rappelle les doux parfums ondulant
Berceuse de l’oreiller du monde
Vois ô là-bas
ici-bas
dans l’esthétisme naïf
insensible
des rires de la scie
flute et re-flute
esprit aussi rêche que des grenas.
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Style : Poème | Par dslz | Voir tous ses textes | Visite : 702
Coup de cœur : 12 / Technique : 10
Commentaires :
pseudo : Brestine
Ce poème me touche, bien que je ne suis pas sûre de le comprendre tout à fait. Il semble porter une sorte de résignation qui donne envie de rebondir...
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