Celui qui n'accepte pas ce monde,
dors sous le ciel ensommeillé,
le temps d'un matin,
des sourires parfum chocolat
au sortir du réveil,
au milieu des cris,
dans son aire nouvelle
le printemps en cercle,
l'Etat râle encercle
Le lit d'onde réveille-matin.
Mordre l'oreiller à côté d'elle c'est la clé
l'ombre déshabillé nous donne des ailes, à l'aube d'un été,
où partant conquérir ses pensées
tu avais escaladé la montagne de cailloux,
le sable chaud s'immisçant entre tes doigts de pieds
Le sourire d'un matin où tu n'acceptait pas ce monde
tu as levé ta tasse de café d'un bras rageur.
Celui qui n'accepte pas ce monde n'y bâtit pas de maisons, non, il plante sa tente dans l'horizon.
(Rémi)
d'autres textes dispo ici : http://Remi-est-la.livejournal.com/
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Style : Poème | Par dslz | Voir tous ses textes | Visite : 804
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Commentaires :
pseudo : ciloum
de très jolies expressions, mais on a l'impression de lire plusieurs poèmes à la fois(ça manque un peu d'unité)
pseudo : dslz
merci pour vos précieux conseils j'en ai besoin ;-)
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