Le temps du jour s'en vient, le temps d'hier s'en va
Grignoter l'air du temps pour charcher aventure.
Le temps du jour s'n vient, le temps d'hier s'en va
Courir le guilledou par-dessus la clôture.
Au temps du vent léger tapi dans les buissons,
Les troupeaux du printemps se gonflent d'herbes folles
En attendant le temps d'un été de chansons
Qui vole et se suspend aux pas des farandoles.
Lorsque le temps d'automne appoorte son ardeur
Aux arbres colorés par le vent de souffrance,
Le soleil se soumet dans un éclat boudeur
Au jaune d'or crémeux rempli d'intolérance.
Qauand vient le temps glacé vêtu de voiles blancs,
Les corbeaux de l'hiver ont la plume en détresse,
Tandis que le brouillard, dissimulant le temps,
Glisse sur les marais dans un bain de paresse.
Le temps du jour s'en vient, le temps d'hier s'en va
Grignoter l'air du temps pour chehrcher aventure ;
Le temps du jour s'en vient,n le temps d'hier s'en va
Courir le guilledou par-dessus la clôture.
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Style : Poème | Par louisane | Voir tous ses textes | Visite : 502
Coup de cœur : 10 / Technique : 8
Commentaires :
pseudo : PHIL
JOLI ET LE RYTHME ET ALERTE
pseudo : ciloum
musical donc
pseudo : BAMBE
Que deviendrions nous sans le guilledou!? Encore un texte à clic, merci.
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