Je n'y vais que peu, de peur d'abîmer leurs navires
Je suis à l'ombre il est vrai, un abysse accolé à mes dires
La surface est si sombre, que le soleil dépourvu n'apporte rien qu'une ombre
Vous êtes là me dites-vous, un espace entre ma mort et le monde
Un tel miel pourrait vous faire saliver un peu
Si vous n'étiez pas tant après moi, j'en servirai bien deux.
La masse qui me préoccupe en ce moment est-ce bien vous ?
Le masque si moribond, que vous courrez dessous !!!
Je brosse pourtant si bien cette onde d'écume
Qui vous sert de marchepied pour courir la fortune
Que n'êtes vous donc pas plus sage envers moi
Un peu de patience, Monsieur, allons, c'est de la foi
Alors, attention aux espaces de torture
Et je vomirai tous vos étés, si salauds en pâture.
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Style : Poème | Par valeix | Voir tous ses textes | Visite : 878
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Commentaires :
pseudo : ciloum
très difficile à suivre mais bon il faut le relire, eh ça vaut le coup je crois, pour te comprendre un peu
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