un songe, Poème de l'auteur hadjer

un songe par hadjer

un songe

Soudain,presque perdue,au milieu d'une campagne,éperdue.
Par une douce brise... je fus doucement éprise.

- Par qui, par quoi ? réponds-moi!

Eh, bien par tout ce que je vois et que tu ne vois pas.
Tout ce qui compose mon univers et qui ne paraît pas.

- Un monde dormant ? C'est cela ton univers ?

Oui, ce n'est surement pas ton monde, c'est le soleil et l'ombre.
Les sentiers qui finissent où d'autres commencent.
C'est le souffle frais, de l'aube qui se lève.

- Tu as choisi cette vie pour exister ?

J'ai choisi le rêve, pour puiser la sérénité, et le vrai sens du mot "liberté".
Dans cet immensité du mot "liberté", je deviens l'ange tant désiré.

- On ne se lasserait pas de t'écouter, mais je doute fort de tes vérités.

Viens avec moi, accompagne mes pas, n'hésite surtout pas.
Avec moi, tu découvriras l'éblouissance de mon cœur.
Tu t'abreuveras de mes douces paroles.
Tu voyageras dans un monde magique, où nulle apparence nuisible, nulle amitié maléfique ne viendra t'agiter.

Avec moi tu plongeras dans l'ineffable harmonie.
Tu oublieras tes tourments tes insomnies, viens... viens goûter à la volupté de mes nuits idylliques...

- Je ne me lasserai jamais de t'écouter, mon cœur s'ouvre quand tu te mets à parler.
Je prête si bien l'oreille aux mots que tu sembles inventer, que j'en oublie et mon âme, mon être et mes amis...

Alors pourquoi tu oscilles, tu vascilles entre certitude et incertitude ? quelle attitude !

- Tu es l'oasis que j'ai rencontré sur mon chemin, prends-moi par la main, éclaire ma vie de ton amour, deviens le "flambeau eternel" de ma triste de ma vie.

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Style : Poème | Par hadjer | Voir tous ses textes | Visite : 542

Coup de cœur : 8 / Technique : 6

Commentaires :

pseudo : monalisa

SONGE D'UN ÊTRE ANGÉLIQUE QUI RÊVE LE CHEMINEMENT DU COEUR. L'ÂME PARCOURE AVEC BEAUTÉ LE MONDE DU CÉLESTE. TRÈS JOLI POÈME.

pseudo : NAJAH HAMID

Presque perdue,…tu n es pas perdue complètement...entièrement...non…Presque...et tu jongles avec aisance...Comme d habitudes... Tu manie les rimes avec souplesse...comme un papillon...Aux multiples couleurs…un rare papillon…tu traces...tu dessines des images...Des belles images…et tu as choisi le rêve, pour puiser ta sérénité, ton calme... Et le vrai sens du mot "liberté". Tu n es pas Perdue… tu es presque Perdue et...MOI… Je ne me lasse pas de t'écouter, au contraire...Tes rimes s infiltrent par l œil. Traversent le cerveau...et donne à réfléchir.tes rimes renvoient des signes…. mais je doute fort de tes vérités… tu vacilles entre certitude et incertitude ? Quelle attitude ! Tu bascules. Tiens bon…ta vie n est pas triste…tu es presque triste…Comme tout être humain..Comme tout être inhumain…la vie est presque un Songe…

pseudo : yasmine

....Il Y' a des fois où à la place des mots ,des larmes d'émotion apparaissent et insistent ))))cette fois en lisant ton poéme c'est bien le cas !TRop beau pour ne pas être relu maintes fois! Bravo

pseudo : Hadjer

Monalisa, Hamid, je suis trés sensibles à l'attention que vous témoignez à mon poème ,par vos commentaires. merci mille fois. Yasmine ta sensibilité et l'émotion que mon poème à suscité en toi m'émeuvent à mon tour .je ne trouve pas les mots pour t'exprimer mes remerciements et mon admiration à ton égard.

pseudo : dfawzi12

Tout simplement BRAVO !!!! Votre texte m'a profondément touché par sa simplicité, sa légéreté, sa fluidité et sa noblesse. Vous écrivez agréablement bien. Continuez dans ce sens, svp!

pseudo : hadjer

merci Dfawzi, d'apprécier mon poème. je suis heureuse de vous faire découvrire mes modestes écrits et doublement heureuse de voir qu'ils vous plaisent. Merci encore une fois.

pseudo : hadjer

Pour les amoureux de la langue de Voltaire, de Molière...je tiens à apporter une petite précision sur la dernière phrase de mon poème. Il y'a un un "ma" qui m'a échappé et qui s'est glissé dans la phrase. A lire. "Le flambeau eternel de ma triste vie". Et comme je l'ai toujours pensé, quand le coeur se met à parler ,il ne fait jamais de fautes,ce n'est pas sa préocupation première ,mais celle de dire, de crier de vomir ce qui lui fait mal ,ce qui le révolte et le soulève. Merci pour tout mes chers amis.